Témoignage d’Antoinette, productrice française de biométhane

Interview à Antoinette Sainte-Beuve Brasset, gérante d’Agri-Aisnergie : « Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle »

Le développement de la méthanisation dans le monde agricole contribue à la production d’une énergie toujours plus respectueuse de l’environnement. De plus, elle apporte une solution durable aux problèmes de productivité de plus en plus rencontrés par les agriculteurs.

Antoinette Sainte-Beuve-Brasset s’est lancée dans l’aventure en 2017 en créant, avec Antoine Langlet et Luc Boutroy, la société Agri-Aisnergie. Elle nous fait part de son expérience alors qu’elle a inauguré en 2020 le 100e site de méthanisation par injection raccordée au réseau de gaz français sur la commune de Neuville-Saint-Amand.

 

Décrivez-nous votre exploitation. Quels produits développiez-vous avant la méthanisation ?

Mon exploitation se situe initialement sur la commune de Saint-Quentin sur 175 hectares de culture de blé, de betterave et de colza. En 2016, suite à d’importants problèmes climatiques, la production de blé a brutalement chuté. D’une production traditionnelle de 90 quintaux de blé, je n’ai récolté, cette année-là, que 60 quintaux. De plus, la fin des quotas betteraviers approchait et les réformes de la PAC conduisaient à une réduction drastique des subventions dédiées aux agriculteurs. Parallèlement, la commune de Saint-Quentin poursuivait son essor et de nombreuses parcelles agricoles étaient ouvertes à l’urbanisation.

 

Pourquoi avez-vous fait le choix de vous lancer dans la méthanisation ?

Lorsque Antoine Langlet m’a alors parlé, en 2017, de son projet de construire un site de méthanisation sur la commune de Neuville-Saint-Amand et m’a proposé de m’y associer avec Luc Boutroy, toutes les conditions étaient réunies pour me lancer dans ce projet. Cela m’a permis d’envisager l’avenir avec plus de sérénité après une année 2016, pour le moins, difficile et un avenir incertain. En outre, le développement de l’exploitation à venir a facilité l’investissement de mon mari dans l’exploitation, ce qui était son souhait. Enfin, c’était une occasion inespérée de s’investir dans un projet écologique.

Tout est allé assez vite après. Le cabinet d’études Artaim nous a apporté un précieux soutien logistique. Il nous a accompagnés dans les démarches administratives, la recherche de financements, la définition du projet et la sélection des entreprises. Endesa nous a ensuite rejoints pour parfaire et finaliser le projet. Ainsi est née la société Agri-Aisnergie.

Quels sont les avantages de la méthanisation pour votre activité ?

Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle. Je produis désormais du maïs et de l’escourgeon en plus du blé, de la betterave et du colza. Certaines cultures intercalaires (entre deux cultures principales) sont directement destinées au méthaniseur et ne se substituent pas à un usage alimentaire, dans la mesure où elles sont produites en plus et qu’elles sont récoltées avant leur terme. Elles me permettent également de produire mon propre engrais. Par ailleurs, cela me met à l’abri des aléas climatiques.

Avec la sécheresse que nous avons connue sur 2020, la production agricole va être très largement impactée et cela devrait se reproduire dans les années à venir sous l’effet du réchauffement climatique. Cet impact sera, à coup sûr, réduit avec la mise en place de la méthanisation. Enfin, elle nous permet d’anticiper l’interdiction à court terme des produits phytosanitaires.

 

Quelle est votre vision sur l’avenir du gaz vert en France ?

Le gaz vert est un progrès énergétique majeur, indispensable face à l’épuisement, à moyen terme, des énergies fossiles. Il alimente les foyers en gaz, mais sert également au développement des stations BioGNV ce qui est une belle avancée pour l’environnement. En tant qu’agricultrice, je suis heureuse de participer à son développement, même si ce dernier devait prendre du temps, car il nécessite le déploiement d’importants moyens financiers.

Que pensez-vous de votre relation avec Endesa ?

Ma relation avec Endesa est excellente, tout se passe pour le mieux depuis le démarrage du projet. J’apprécie leur grande disponibilité et leur réactivité face aux questionnements qui peuvent se poser quand on se lance dans une telle initiative. C’est un partenariat prometteur où chacun participe à une meilleure prise en compte de l’environnement. En leur vendant le gaz produit sur l’exploitation, Endesa peut accroître son offre de biogaz à destination de leurs clients et fournir des stations en BioGNV. Avec les ressources apportées par la vente du gaz issu de la méthanisation, je peux continuer à développer mon activité agricole.

Voulez-vous en savoir plus sur le BioGNV ? Téléchargez notre brochure ici

Témoignage d’Antoinette, productrice française de biométhane

Interview à Antoinette Sainte-Beuve Brasset, gérante d’Agri-Aisnergie : « Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle »

Le développement de la méthanisation dans le monde agricole contribue à la production d’une énergie toujours plus respectueuse de l’environnement. De plus, elle apporte une solution durable aux problèmes de productivité de plus en plus rencontrés par les agriculteurs.

Antoinette Sainte-Beuve-Brasset s’est lancée dans l’aventure en 2017 en créant, avec Antoine Langlet et Luc Boutroy, la société Agri-Aisnergie. Elle nous fait part de son expérience alors qu’elle a inauguré en 2020 le 100e site de méthanisation par injection raccordée au réseau de gaz français sur la commune de Neuville-Saint-Amand.

 

Décrivez-nous votre exploitation. Quels produits développiez-vous avant la méthanisation ?

Mon exploitation se situe initialement sur la commune de Saint-Quentin sur 175 hectares de culture de blé, de betterave et de colza. En 2016, suite à d’importants problèmes climatiques, la production de blé a brutalement chuté. D’une production traditionnelle de 90 quintaux de blé, je n’ai récolté, cette année-là, que 60 quintaux. De plus, la fin des quotas betteraviers approchait et les réformes de la PAC conduisaient à une réduction drastique des subventions dédiées aux agriculteurs. Parallèlement, la commune de Saint-Quentin poursuivait son essor et de nombreuses parcelles agricoles étaient ouvertes à l’urbanisation.

 

Pourquoi avez-vous fait le choix de vous lancer dans la méthanisation ?

Lorsque Antoine Langlet m’a alors parlé, en 2017, de son projet de construire un site de méthanisation sur la commune de Neuville-Saint-Amand et m’a proposé de m’y associer avec Luc Boutroy, toutes les conditions étaient réunies pour me lancer dans ce projet. Cela m’a permis d’envisager l’avenir avec plus de sérénité après une année 2016, pour le moins, difficile et un avenir incertain. En outre, le développement de l’exploitation à venir a facilité l’investissement de mon mari dans l’exploitation, ce qui était son souhait. Enfin, c’était une occasion inespérée de s’investir dans un projet écologique.

Tout est allé assez vite après. Le cabinet d’études Artaim nous a apporté un précieux soutien logistique. Il nous a accompagnés dans les démarches administratives, la recherche de financements, la définition du projet et la sélection des entreprises. Endesa nous a ensuite rejoints pour parfaire et finaliser le projet. Ainsi est née la société Agri-Aisnergie.

Quels sont les avantages de la méthanisation pour votre activité ?

Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle. Je produis désormais du maïs et de l’escourgeon en plus du blé, de la betterave et du colza. Certaines cultures intercalaires (entre deux cultures principales) sont directement destinées au méthaniseur et ne se substituent pas à un usage alimentaire, dans la mesure où elles sont produites en plus et qu’elles sont récoltées avant leur terme. Elles me permettent également de produire mon propre engrais. Par ailleurs, cela me met à l’abri des aléas climatiques.

Avec la sécheresse que nous avons connue sur 2020, la production agricole va être très largement impactée et cela devrait se reproduire dans les années à venir sous l’effet du réchauffement climatique. Cet impact sera, à coup sûr, réduit avec la mise en place de la méthanisation. Enfin, elle nous permet d’anticiper l’interdiction à court terme des produits phytosanitaires.

 

Quelle est votre vision sur l’avenir du gaz vert en France ?

Le gaz vert est un progrès énergétique majeur, indispensable face à l’épuisement, à moyen terme, des énergies fossiles. Il alimente les foyers en gaz, mais sert également au développement des stations BioGNV ce qui est une belle avancée pour l’environnement. En tant qu’agricultrice, je suis heureuse de participer à son développement, même si ce dernier devait prendre du temps, car il nécessite le déploiement d’importants moyens financiers.

Que pensez-vous de votre relation avec Endesa ?

Ma relation avec Endesa est excellente, tout se passe pour le mieux depuis le démarrage du projet. J’apprécie leur grande disponibilité et leur réactivité face aux questionnements qui peuvent se poser quand on se lance dans une telle initiative. C’est un partenariat prometteur où chacun participe à une meilleure prise en compte de l’environnement. En leur vendant le gaz produit sur l’exploitation, Endesa peut accroître son offre de biogaz à destination de leurs clients et fournir des stations en BioGNV. Avec les ressources apportées par la vente du gaz issu de la méthanisation, je peux continuer à développer mon activité agricole.

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Témoignage d’Antoinette, productrice française de biométhane

Interview à Antoinette Sainte-Beuve Brasset, gérante d’Agri-Aisnergie : « Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle »

Le développement de la méthanisation dans le monde agricole contribue à la production d’une énergie toujours plus respectueuse de l’environnement. De plus, elle apporte une solution durable aux problèmes de productivité de plus en plus rencontrés par les agriculteurs.

Antoinette Sainte-Beuve-Brasset s’est lancée dans l’aventure en 2017 en créant, avec Antoine Langlet et Luc Boutroy, la société Agri-Aisnergie. Elle nous fait part de son expérience alors qu’elle a inauguré en 2020 le 100e site de méthanisation par injection raccordée au réseau de gaz français sur la commune de Neuville-Saint-Amand.

 

Décrivez-nous votre exploitation. Quels produits développiez-vous avant la méthanisation ?

Mon exploitation se situe initialement sur la commune de Saint-Quentin sur 175 hectares de culture de blé, de betterave et de colza. En 2016, suite à d’importants problèmes climatiques, la production de blé a brutalement chuté. D’une production traditionnelle de 90 quintaux de blé, je n’ai récolté, cette année-là, que 60 quintaux. De plus, la fin des quotas betteraviers approchait et les réformes de la PAC conduisaient à une réduction drastique des subventions dédiées aux agriculteurs. Parallèlement, la commune de Saint-Quentin poursuivait son essor et de nombreuses parcelles agricoles étaient ouvertes à l’urbanisation.

 

Pourquoi avez-vous fait le choix de vous lancer dans la méthanisation ?

Lorsque Antoine Langlet m’a alors parlé, en 2017, de son projet de construire un site de méthanisation sur la commune de Neuville-Saint-Amand et m’a proposé de m’y associer avec Luc Boutroy, toutes les conditions étaient réunies pour me lancer dans ce projet. Cela m’a permis d’envisager l’avenir avec plus de sérénité après une année 2016, pour le moins, difficile et un avenir incertain. En outre, le développement de l’exploitation à venir a facilité l’investissement de mon mari dans l’exploitation, ce qui était son souhait. Enfin, c’était une occasion inespérée de s’investir dans un projet écologique.

Tout est allé assez vite après. Le cabinet d’études Artaim nous a apporté un précieux soutien logistique. Il nous a accompagnés dans les démarches administratives, la recherche de financements, la définition du projet et la sélection des entreprises. Endesa nous a ensuite rejoints pour parfaire et finaliser le projet. Ainsi est née la société Agri-Aisnergie.

Quels sont les avantages de la méthanisation pour votre activité ?

Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle. Je produis désormais du maïs et de l’escourgeon en plus du blé, de la betterave et du colza. Certaines cultures intercalaires (entre deux cultures principales) sont directement destinées au méthaniseur et ne se substituent pas à un usage alimentaire, dans la mesure où elles sont produites en plus et qu’elles sont récoltées avant leur terme. Elles me permettent également de produire mon propre engrais. Par ailleurs, cela me met à l’abri des aléas climatiques.

Avec la sécheresse que nous avons connue sur 2020, la production agricole va être très largement impactée et cela devrait se reproduire dans les années à venir sous l’effet du réchauffement climatique. Cet impact sera, à coup sûr, réduit avec la mise en place de la méthanisation. Enfin, elle nous permet d’anticiper l’interdiction à court terme des produits phytosanitaires.

 

Quelle est votre vision sur l’avenir du gaz vert en France ?

Le gaz vert est un progrès énergétique majeur, indispensable face à l’épuisement, à moyen terme, des énergies fossiles. Il alimente les foyers en gaz, mais sert également au développement des stations BioGNV ce qui est une belle avancée pour l’environnement. En tant qu’agricultrice, je suis heureuse de participer à son développement, même si ce dernier devait prendre du temps, car il nécessite le déploiement d’importants moyens financiers.

Que pensez-vous de votre relation avec Endesa ?

Ma relation avec Endesa est excellente, tout se passe pour le mieux depuis le démarrage du projet. J’apprécie leur grande disponibilité et leur réactivité face aux questionnements qui peuvent se poser quand on se lance dans une telle initiative. C’est un partenariat prometteur où chacun participe à une meilleure prise en compte de l’environnement. En leur vendant le gaz produit sur l’exploitation, Endesa peut accroître son offre de biogaz à destination de leurs clients et fournir des stations en BioGNV. Avec les ressources apportées par la vente du gaz issu de la méthanisation, je peux continuer à développer mon activité agricole.

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Témoignage d’Antoinette, productrice française de biométhane

Interview à Antoinette Sainte-Beuve Brasset, gérante d’Agri-Aisnergie : « Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle »

Le développement de la méthanisation dans le monde agricole contribue à la production d’une énergie toujours plus respectueuse de l’environnement. De plus, elle apporte une solution durable aux problèmes de productivité de plus en plus rencontrés par les agriculteurs.

Antoinette Sainte-Beuve-Brasset s’est lancée dans l’aventure en 2017 en créant, avec Antoine Langlet et Luc Boutroy, la société Agri-Aisnergie. Elle nous fait part de son expérience alors qu’elle a inauguré en 2020 le 100e site de méthanisation par injection raccordée au réseau de gaz français sur la commune de Neuville-Saint-Amand.

 

Décrivez-nous votre exploitation. Quels produits développiez-vous avant la méthanisation ?

Mon exploitation se situe initialement sur la commune de Saint-Quentin sur 175 hectares de culture de blé, de betterave et de colza. En 2016, suite à d’importants problèmes climatiques, la production de blé a brutalement chuté. D’une production traditionnelle de 90 quintaux de blé, je n’ai récolté, cette année-là, que 60 quintaux. De plus, la fin des quotas betteraviers approchait et les réformes de la PAC conduisaient à une réduction drastique des subventions dédiées aux agriculteurs. Parallèlement, la commune de Saint-Quentin poursuivait son essor et de nombreuses parcelles agricoles étaient ouvertes à l’urbanisation.

 

Pourquoi avez-vous fait le choix de vous lancer dans la méthanisation ?

Lorsque Antoine Langlet m’a alors parlé, en 2017, de son projet de construire un site de méthanisation sur la commune de Neuville-Saint-Amand et m’a proposé de m’y associer avec Luc Boutroy, toutes les conditions étaient réunies pour me lancer dans ce projet. Cela m’a permis d’envisager l’avenir avec plus de sérénité après une année 2016, pour le moins, difficile et un avenir incertain. En outre, le développement de l’exploitation à venir a facilité l’investissement de mon mari dans l’exploitation, ce qui était son souhait. Enfin, c’était une occasion inespérée de s’investir dans un projet écologique.

Tout est allé assez vite après. Le cabinet d’études Artaim nous a apporté un précieux soutien logistique. Il nous a accompagnés dans les démarches administratives, la recherche de financements, la définition du projet et la sélection des entreprises. Endesa nous a ensuite rejoints pour parfaire et finaliser le projet. Ainsi est née la société Agri-Aisnergie.

Quels sont les avantages de la méthanisation pour votre activité ?

Grâce à la mise en place de la méthanisation, j’ai pu diversifier les cultures sur l’exploitation et ainsi pérenniser mon activité professionnelle. Je produis désormais du maïs et de l’escourgeon en plus du blé, de la betterave et du colza. Certaines cultures intercalaires (entre deux cultures principales) sont directement destinées au méthaniseur et ne se substituent pas à un usage alimentaire, dans la mesure où elles sont produites en plus et qu’elles sont récoltées avant leur terme. Elles me permettent également de produire mon propre engrais. Par ailleurs, cela me met à l’abri des aléas climatiques.

Avec la sécheresse que nous avons connue sur 2020, la production agricole va être très largement impactée et cela devrait se reproduire dans les années à venir sous l’effet du réchauffement climatique. Cet impact sera, à coup sûr, réduit avec la mise en place de la méthanisation. Enfin, elle nous permet d’anticiper l’interdiction à court terme des produits phytosanitaires.

 

Quelle est votre vision sur l’avenir du gaz vert en France ?

Le gaz vert est un progrès énergétique majeur, indispensable face à l’épuisement, à moyen terme, des énergies fossiles. Il alimente les foyers en gaz, mais sert également au développement des stations BioGNV ce qui est une belle avancée pour l’environnement. En tant qu’agricultrice, je suis heureuse de participer à son développement, même si ce dernier devait prendre du temps, car il nécessite le déploiement d’importants moyens financiers.

Que pensez-vous de votre relation avec Endesa ?

Ma relation avec Endesa est excellente, tout se passe pour le mieux depuis le démarrage du projet. J’apprécie leur grande disponibilité et leur réactivité face aux questionnements qui peuvent se poser quand on se lance dans une telle initiative. C’est un partenariat prometteur où chacun participe à une meilleure prise en compte de l’environnement. En leur vendant le gaz produit sur l’exploitation, Endesa peut accroître son offre de biogaz à destination de leurs clients et fournir des stations en BioGNV. Avec les ressources apportées par la vente du gaz issu de la méthanisation, je peux continuer à développer mon activité agricole.

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